Elemental
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 Saeru [ Light / FINI!!!]

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Saeru
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Saeru


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MessageSujet: Saeru [ Light / FINI!!!]   Saeru [ Light / FINI!!!] EmptyJeu 5 Fév - 2:11

Prénom: Saeru, mon prénom veut dire clarté, brillance.
Nom: Light
Gars ou Fille : Garçon!
Âge: 16 ans
Grade désirer: Héritier de Light!

Caractère: Est-ce si difficile de comprendre que mon caractère n,a aucun rapport avec mon physique? Toujours on s'éloignait de moi en craignant de subir ma colère pour m'avoir accroché Pourtant je m'étais excusé le premier. Pourquoi donnerais-je l'idée que je suis quelqu'un de méchant et méprisant. Au contraire je suis un être doux en généreux. Jamais je n'oserais blesser quelqu'un sans une excellente raison. Je suis quelqu'un qui se sacrifierait pour un autre, bien que cette personne refuserait de mon aide de peur que je l'accuse de m'avoir utilisé, chose que je ne ferais jamais. À cause des fausses idées que les gens se font de moi, rares sont les personnes qui sont capables de voir mon côté simplet et doux. On me craint. Pourtant, cette attitude à une certaine dose d'utilité, car je perds très facilement patience, si quelqu'un se met à m,ennuyer, même s'il s'agit d'un faible, je n'hésiterai jamais à le menacer, de le blesser ou de simplement le tuer. En temps normal j'essaie de rester calme et de ne pas tuer, mais je n'ai aucune peur du meurtre, tout cela n'est qu'une épreuve pour moi. Faire d'un être un cadavre est une chose totalement simple. Pourquoi? Simplement parce que tuer est une chose si facile, si délicate, si douce à l'oreille.

Eh oui, si vous le voyez comem cela, on pourrait facilement dire que j'ai une double personnalité, pourtant autant l'une que l'autre en est consciente et ne se traitent pas différemment, ces deux visions ne font qu'une, le corps principal, moi et moi seul. Jamais une vision ne prendrait le dessus sur l'autre. Mon corps agit comem notre monde, c'est un équilibre fort et qui ne changera jamais. Il arrive parfois qu'une vision du monde devienne plus forte, mais l'autre rétablie l'équilibre et tout redevient normal dans mon corps. C'est donc pour cette raison qu'il est parfois mieux de me craindre que de m'aimer!


Physique: Depuis que je ne mesure que trois pomme, on m'a toujours observer avec un regard curieux et à la fois dégouté. Tout cela simplement pour mes yeux bruns rougeâtres et mes cheveux sombres. D'après vous je dois avoir l'air d'un gamin totalement normal, cependant pour des êtres qui ne voient chaque jours que des êtres aux cheveux blonds ou aux cheveux blancs comme neige. Personne n'était capable de m'observer et de me considérer comme un être Light à part entière chose que j'étais pourtant. Mais maintenant, les choses ont changées avec moi. On ne fait plus que regarder mes cheveux obscurs et mes yeux rougeâtres, ont regarde plus la couleur extrêmement pâle et mon visage fin et délicat. Mon corps, grand et mince pourtant musclé fait de moi un être parfait pour le clan. Agile et gracieux je suis imposant par l'impression que je laisse. Malgré le fait que mes yeux sont différents, il est facile d'y lire toute la force ,la puissance et l'influence que je suis capable d'exercer. Alors pour votre propre bien-être et pour mon contentement, vous feriez mieux de ne pas me défier. Mais parfois, je remarque que l'on me juge sur mes vêtements. Bien sur je porte ce qui est de plus approprié pour mon rang, des vêtements extensibles, mais pourtant chics et propres. Impeccable, c'est exactement le mot que les gens du village utilisent pour me décrire, bien que cela me mette un peu mal alaise. Une autre chose peut paraître un peu étrange avec moi. Je ne me bat pas simplement avec ma magie, au contraire j'utilise beaucoup ma lame. Cependant pour les autres ma lame est étrange. Pourquoi? Simplement parce que le fourreau et la pommeau sont blancs et que la lame en elle-même est nire? Qu'y a-t'il d'étrange. J'avais soigneusement choisis le fourreau blanc pour ne pas me faire remarquer, mais pourtant. Ça devient un peu décourageant à la fin non?!

Pouvoir:


- Contrôle de la lumière: créer la lumière, choisit sa direction, son intensité, sa pureté. [ Ça doit bien être la seule chsoe que je contrôle et on peut dire que j'y arrive presque parfaitement! ]

- Regard de vérité: un regard insistant qui force l'adversaire à dire la vérité. [ Ça existe ça!? ] [ Veut dire que j'y connais rien! ]

- Contrôle des émotions: réussi à connaitre les émotions d'un autre, à les purifier. [ C'est aussi difficile, mais j'y arrive légèrement ]

- Illumination: se change en lumière à l'état pur, peut voyager rapidement dans cet état. [ Je ne connais pas encore ce pouvoir ]

Histoire:

[ SUITE DANS PROCHAIN POSTE, PAS ASSEZ DE PLACE DANS CELUI-CI! ]


---------------------------------------

Comment avez vous découvert le forum :
Publicité sur le forum: Knights of Emerald! [ Zerrah/ Sakki ^^]

Avez vous lut le règlement :
Ben dah! XD

Le code est :
Ok by Flamèche

Autre :


Dernière édition par Saeru le Mar 10 Fév - 5:42, édité 10 fois
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MessageSujet: Re: Saeru [ Light / FINI!!!]   Saeru [ Light / FINI!!!] EmptyVen 6 Fév - 15:26

Ton histoire est-elle fini ?
alors... tu as les quatres pouvoirs que j'avais proposé, comme tu est héritier, sa passe, il est normale qu'un chef soit fort... ce que tu deviendra ! Mais y aurait-il des forces et des faiblesses que tu pourrais ajouter à ses pouvoirs ? lequel controle tu le mieu, avec le quel as-tu plus de difficulté ??

Apars sa tout est bon, j'attends ta réponse avant de te valider...
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MessageSujet: Re: Saeru [ Light / FINI!!!]   Saeru [ Light / FINI!!!] EmptySam 7 Fév - 5:35

[ SUITE! J'ai ajouté une limite, je voulais la mettre plus tard, mais bon, pas le choix ça à l'air et ce poste répond à la première question je crois! Si elle aurait fini là, ça n'aurait pas eut de sens à vrai dire! ]

- Sa... Saeru...

Je sentis mon coeur faire quatre tours d'un seul coup, mon visage était déformé par la douleur et le dégoût. Mon regard devait être effrayé, enfin il me semble, peut-être était-il plus dégoûté?! Je s'en savais rien, pour moi tout ce qui importait c'était de m'enfuir le plus rapidement possible. Pourtant je ne pouvais pas du tout bouger. Seuls mes yeux semblaient encore répondre à mes commandements, le reste de mon corps était encore crispé dans la même position que lorsque je m'étais écrasé sur le sol après une énorme chute de plusieurs mètres. Une trentaine environ. Mes jambes et mes bras devaient êtres cassés, pourtant je ne ressentais pas ce genre de douleur, ce qui me faisait mal c'était de voir son visage. Ce visage si doux et compatissant qui n'avait pas changé d'expression. Malgré le fait qu'elle allait mourir, elle me souriait toujours, gardant son visage pâle illuminé par une pensée pure. Étais-je fou au point d'halluciner ma mère en train de sourire au moment où elle allait mourir? Je ne le sus jamais. De longues larmes brûlantes incendiaires mes joues blêmies par la perte excessive de sang. Mes cheveux cachaient en partie ma vision, je ne voyais que son visage et un de ses bras, il était déchiqueté. J'eus un haut-le-coeur en le regardant une fois de plus. En le voyant j'imaginais le reste de son corps, il devait bien lui manquer une jambe et peut-être son corps était-il complètement déchiré du fait qu'il en lui restait plus que son torse et un bras déchiquetés. Je déglutis, me disant que c'était certainement une meilleure idée que je n'ai aucune idée de ce qui constituait son corps. Je fermai avec force les yeux, faisant couler de nouveau mes larmes. Lorsque j'ouvris les yeux de nouveau, elle me fixait, son visage tremblait tout comme ses lèvres bleues qui formaient un sourire mal formé. Je du détourné le regard pour en pas lui crier d'arrêter de me sourire.

- Sae... pardonne leur... ils... je ne cr...


Ses yeux se révulsèrent et elle cracha un amas de sang mélangé à de la salive. Le sang semblait plus foncé, brun, noir. Elle fut prise de convulsions pendant que je me crispai, essayant par n'importe quel moyen d'échapper à la torture de la voir souffrir m'infligeait. Puis elle s'arrêta. Je restai un long moment à la contemplé, certain qu'elle se moquait de moi, je me mis alors à rire d'un rire nerveux, mais lorsque je remarquai que cela faisait de longues minutes qu'elle ne bougeait plus, je me mis à crier le plus fort que je pouvais. Je pleurais comme un fou tendis que se trouvait devant moi, le corps inerte, mort de ma mère.

Il me fallut plusieurs heures avant de commencer à me calmer. J'avais complètement perdu le sens de l'orientation et je ne savais plus ce que je faisais là ni où j'étais. Tout semblait confus du moment où nous nous étions retrouvés là et le moment où elle... je n'osai pas même penser à elle, à son nom, son visage, son odeur putride pendant qu'elle se battait pour survivre alors que je ne faisais rien la regardant mourir, avec le sourire. C'était ignoble, comment avait-elle pu quitter ce monde d'une façon tellement terrifiante? Pourquoi n'avait-elle pas simplement avouée qu'elle souffrait et qu'elle avait affreusement mal au lieu de me regarder gentiment et de me demander de ne pas leur en vouloir. Mais à qui? Je ne comprenais rien. Peut-être le fait que je n'avais que 8 ans avait un quelconque effet sur moi. À ce moment-là, je remarquai enfin le soleil Il commençait à disparaître. Je ne pouvais tourner la tête, alors je ne voyais pas dans quoi j'étais, sûrement un trou ou une crevasse profonde. La lumière commençait doucement à disparaître, me laissant dans un monde obscur, sombre et froid. J'avais toujours eus de la difficulté avec tout ce qui était sombre, peut-être était-ce dû au fait que j'étais du clan Light, je ne le savais pas un moins du monde!

J’ouvris les yeux. À vrai dire je ne savais pas trop si j’avais réellement les yeux ouverts puisque je ne voyais absolument rien, tout était noir, froid, effrayant. La seule chose qui me permit de savoir que j’avais bel et bien les yeux ouverts ce fut le petit bout de lune que je pus apercevoir entre deux gros nuages gis. Le tonnerre grondait, pourtant je ne recevais aucune goutte de pluie. Étais-je dans un endroit à l’abri de la pluie où était-ce une tempête causée par la chaleur de l’été? Je ne pouvais le savoir dans mon état. J’essayai de bouger, en vain, Mes membres semblaient prêts à tout pour m’empêcher de bouger d’un seul centimètre. J’avais le visage dans la terre et j’avais mal partout. Je ne sentais plus mes jambes ni mes bras, mon cœur battait difficilement dans ma poitrine, m’arrachant ce qui devait ressembler à des grimaces de douleur. Alors que j,allais de nouveau sombrer dans le coma, ce que je crus avoir fais durant quelques heures, un bruit attira légèrement mon attention. C’était un genre de grognement, à vrai dire, ce n’était pas animal, mais humain. Oui, quelqu’un d’humain grognait! Je n’avais pas la force de pousser mon corps à bout pour me retourner et voir de quoi ou qui il s’agissait. Un bruissement de feuille suivit rapidement le grognement. Des bruits de pas broyant des feuilles sur leur passage. Bien que le son était quand même faible le fait que j’avais l’oreille collée sur le sol me permettait d’entendre un peu la résonance des pas. Ils semblaient s’approcher rapidement de moi. Il y eut un silence puis un énorme « Paf! » au sol. Je sursautai en grinçant des dents, la douleur dans mes jambes se réveillait. J’entendis un toussotement profond puis un autre silence, plus lourd cette fois. Un soupir... Un soupir? Quelqu’un était en train de soupirer dans mon dos alors je j,allais mourir et que ma... ma mère était morte, à mon côté, presque dévorée par les insectes qui n’attendaient plus que ma mort pour appeler leurs amis les vautours et me dévorer joyeusement dans une belle fête pleine de joie et d’un buffet gratuit et abondant.

Je déglutis difficilement, la plupart de la salive que j,avais voulu avaler avait tout simplement décidée de rester dans ma bouche pour me faire baver sur le sol déjà assez humide. Je sentis une main se poser dans mon dos et me tapoter doucement, je gémis difficilement, essayant de faire comprendre que j’étais vivant sans que la chose ou la personne n’ait à me tripoter de façon à me tuer au lieu de s’assurer de ma vivacité. À vrai dire je n’étais pas trop certain de savoir le but de cet être, mais je décidai d’en faire mon sauveur. Peut-être pourrais-je l’utiliser pour retourner au village vivant et apprendre aux anciens la mort de ma mère. Pourtant, malgré cette drôle d’idée, j’eus l’étrange impression que cela ne servirait à rien, que mon cœur lâcherait de toute manière et que ma vie se terminerait tout de même sous la lame argentée tâchée de rouge d’un ennemi.

Je plissai les yeux en voyant une douce lumière illuminer l’endroit où je me trouvais. Devant moi, lorsque mes yeux s’habituèrent à la lumière, se trouvait le visage d’un vieillard aux rides prononcées et aux cernes encore plus. Son regard brun et ses cheveux blancs encadraient parfaitement son visage maigre et blême. Il faisait partie des Light, c’était facile à savoir, trop facile. L’expression qu’il affichait n’exprimait aucune émotion, ses lèvres rosées étaient serrés dans un simple plis sur son visage fascinant. Ses pommettes saillantes lui donnaient un ai macabre, mais pourtant tellement passionnant. Je me perdis rapidement dans son regard glacial, mais pourtant si compatissant, je ne comprenais pas ce qui se passait, mais je savais une chose, je l’avais déjà aperçue. Non, aucun souvenir de lui ne me venait à l’esprit, mais la façon dont il avait réagi en voyant mon visage en m’éclairant, j’avais su qu’il me connaissait. C’était si simple, si clair, si... trop clair, tellement que je n’y voyais plus rien, tout était flou trop vague, trop... effacé?! Je ne savais pas comment exprimer ce sentiment étrange, je voulais disparaître, effacer mes souvenirs, mon existence, mon passage, pourtant je me devais de rester, de laisser une trace de mon âme, de laisser voir qui j’étais, qui je représentais, ce que j’étais réellement.

Le vieil homme recula vivement et la lumière disparut. Une drôle de tache noire apparut as mon champ de vision comme lorsqu’il y a un trop rapide changement de luminosité. À vrai dire c’était ce qui se passait. J’entendis de nouveau les pas avant de sentir de fortes mains sur mes côtes. Ces mains étaient beaucoup trop fortes pour appartenir au vieil homme, j’en étais certain, enfin, à ce moment-là, lorsque je ne connaissais pas encore son identité ni ce qu’il faisait ici. Je fus facilement soulevé dans els airs je laissai un cri étouffé s’échapper de ma gorge avant de perdre connaissance, enfin ce fut ce que je pensai faire car je ne me souvins plus de rien jusqu’à ce que je j’ouvre les yeux de nouveau, cette fois il faisait jour et une douce odeur chatouillait gaiement mes narines endolories par la trop grosse humidité du sol et la saleté.

Je relevai doucement la tête. Mes muscles me faisaient toujours souffrir, mais cela semblait un peu plus supportable, au point où je pus me relever. J’étais dans une pièce de bois où tout était fermé. Il y avait une seule fenêtre et la lumière qui y entrait illuminait l’endroit où je me trouvais. J’étais dans la lumière et cela me fit le plus grand bien, la seule pensée dans laquelle j’aurais pu être endormis dans un endroit que je ne connaissais pas et en plus dans le noir me fit frémir. Je détestais réellement le noir. Mon regard, sûrement épuisé, se posa sur une petite ouverture, enfin une porte d’où émanait une légère lumière. Je ne l’avais pas tout de suite remarquée, cette porte. Mes cheveux glissèrent lentement le long de mon épaule nue. Je baissai les yeux et remarqué que je ne portais plus mon chandail de la veille, ce que je croyais être la veille en fait. J’étais emballé dans des bandages tachés de sang. Mon pantalon avait été changé pour un plus clair et quelques marques de sang y apparaissaient. Mon pied droit était complètement recouvert, mais mon pied gauche n’avait qu’une petite marque recouverte d’un bout de tissus retenu par un nœud solide. Je posai mes mains sur mon visage et ressentis la douceur d’un bandage sur mon front. Je fus soulagé de voir que je n’allais pas aussi mal que je l’aurais cru la veille.

La porte grinça. Mes yeux se posèrent instinctivement sur l’embrasure d’où sortait une lumière dorée. Le vieil homme de la veille passa une tête curieuse dans l’ouverture. Enfin, il semblait curieux, mais cela aurait aussi passé pour de l’inquiétude. Je chassai mon interrogation sur le vieil homme un moment pour me concentrer sur ce qu’il tenait entre ses mains tremblantes. Un plateau remplis à ras bord de nourriture chaude et qui semblait délicieuse. Je repoussai mon propre corps avec mes mains du petit lit où j’étais couché quelques instants plus tôt, pour me mettre sur mes pieds. J’étais affamé. Cependant mon corps désirait vraiment autre chose car il m’obligea à me remettre sur le lit en grimaçant de douleur. J’avais plissé les yeux avec force. J’entendis alors une voix grave, inquiète, des bruits de pas puis de vaisselle qui tinte. J’ouvris les yeux, inquiet pour le sort de mon repas, il avait été posé sur une table basse que je n’avais pas remarqué. Elle avait été sculpter dans un bois sombre, à première vue. Je ne sus dire s’il s’agissait de la réelle couleur du bois où s’il eût été traité d’une quelconque façon pour lui donner cette couleur terre brûlée. Je soupirai de bonheur avant de dévisage le vieillard qui tendait une main inutile dans ma direction. Son visage trahissait son inquiétude et ses tremblements lui donnaient un air de vieil homme qui va mourir d’un instant à l’autre.

Je l’observai longuement, scrutant chaque partie de son visage avec lenteur et précision, tant qu’à lui, le vieillard semblait ne pas être contre cette idée puisqu’il ne bougeait pas. Il avait abaissé son bras après quelques minutes et s’était assis sur une chaise du même bois que la table, elle aussi je ne l’avais pas remarquée. Ses traits semblaient tirés, comme s’il n’avait pas fermé l’œil depuis plusieurs jours. Peut-être y avait-il eut une tempête violente et il avait peut-être dû travailler pour réparer sa maison. Je détournai légèrement le regard vers la gauche, vers la porte presque ouverte. La lumière qui entrait me laissait un drôle d’impression, comme si elle ne m’était pas totalement inconnue. Je penchai la tête, m’incrustant dans mes souvenirs, essayant de déchiffrer quelques images floues de mon passé. Pourquoi cela ne m’était-il pas inconnu? Pourtant j’étais certain de ne jamais avoir mis les pieds dans cet endroit. Je fixai ensuite le vieil homme, il venait de soupirer en fermant ses yeux bruns. Lorsqu’il ouvrit les yeux de nouveau, il avait adopté un air sérieux, distant, froid. Un frisson parcourut rapidement mon dos, me faisant frissonner et reculer dans le lit chaud, douillet. Sa voix se fit grave, défaite. On dirait qu’il avait attrapé une maladie dégénérative et qu’il s’apprêtait à laisser son âme quitter son corps avec calme, sérénité, je l’écoutai, certain de ce que j’avançais.

- Saeru... Sais-tu qui je suis?


Je penchai la tête sur le côté. Si je savais qui il était? Non bien sûr que non, en fait, je savais en partie de qui il s’agissait. Je ne connaissais ni son nom, ni son rang, pourtant il me rappelait quelqu’un. Il semblait avoir... la même énergie qu’elle... que ... ma mère. Je déglutis difficilement, me demandant ce qu’il pouvait réellement être. L’attitude qu’il utilisait me laissait perplexe sur son rôle dans ma vie. Peut-être était-il supposé être quelqu’un de connu dans le clan, pourtant je ne me souvenais pas de l’avoir vu. Ce fut à ce moment que je vis ses yeux, ses pupilles brunes, brillantes, effrayantes, rouges. J’en avais des frissons. Qui était-il et que me voulait-il? Il aurait tout simplement pu me laisser mourir où j’étais la veille, me laisser crever avec elle, dans un silence de mort et dans un endroit profond, sans lumière. L’enfer pour moi! Je plissai les yeux, serrant les dents en faisant blanchir mes lèvres. Enfin, j’eus cette impression puisqu’il n’y avait pas un petit trou d’air entre mes lèvres, elles semblaient collées, soudées.

- Comment connaissez-vous mon nom?


Dernière édition par Saeru le Dim 8 Fév - 5:06, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Saeru [ Light / FINI!!!]   Saeru [ Light / FINI!!!] EmptyDim 8 Fév - 5:05

Je ne répondis tout simplement pas à sa question. Bien sûr j’aurais dû demander qui il était pour satisfaire ma curiosité, mais mon cœur me criait sans relâche de demander autre chose, de ne pas être direct. Peut-être avais-je besoin de plus amples explications de ce qu’il voulait me dire à l’origine. Si c’était ce que je désirais réellement, je satisferais ce désir, je me le jurai. Je fronçai les sourcils en me recroquevillant sur moi-même en une petite boule blanche tachée de marques rouges, brunes, comme son regard.

Comme mon regard!

Je sentis mon cœur faire un double tour. Ce que je venais de penser venait de me frapper de plein fouet. J’arrêtai de respirer quelques secondes, tout sembla s’arrêter pendant que le vieil homme prononçait les mots tabous. Était-ce ce qu’il disait ou ce que je pensait qui me déchirait? Le fait que j’avais trouvé une moindre ressemblance entre ce vieil homme et moi me mettrait-il vraiment dans cet état? Était-ce ses paroles, ces mots sur mon passé, sur mon origine oubliée? Je repassai lentement ses mots brûlants; « C’est moi qui t’ai donné ce nom... Saeru! ». L’air entra de nouveau dans mes poumons, me faisant le plus grand bien pendant que ma tête continuait de travailler d’arrache pied pour remettre mes idées confuses en ordre. Je ne comprenais plus rien, que voulait-il dire? Comment ça il m’avait donné mon nom?! Je me repoussai au fond de mon lit en titubant. La lumière entant pas la fenêtre m’aveugla un moment, ma tête frappa la tête de lit et je me baissai en retenant le derrière de ma tête pour atténuer la douleur. En tremblant je me retournai vers la tête de lit, un réflexe pour voir ce que l’on frappe. À ce moment-là, je me figeai, je compris ensuite pourquoi la lumière de la fenêtre se dirigeait vers cet endroit précis. Mes yeux se remplirent rapidement de larmes. Lentement, en silence je pleurai, mon cœur me faisait mal, je sentais que ma tête se vidait au fur et à mesure que j’observais son visage, ses traits doux et joyeux, son air gamin et ses yeux gris. Mon cœur lâcha et je tombai vers l’avant, une main dans le visage, trempée par mes larmes, je ne pouvais plus voir, je ne sentais plus que j’étais vivant, tout semblait quitter mon être.

Ce fut une main qui me fit ouvrir les yeux de nouveau. Le vieil homme était penché par-dessus mon épaule et observait mon visage rougi par les larmes. Je reniflai légèrement en essuyant du revers de la main une larme qui glissait le long de ma joue. Le vieillard me fit un léger sourire et releva le regard vers le portrait qui reposait sur la tête de lit en bois toujours foncé. Le cadre blanc mettait en valeur les quatre visages qui apparaissaient sur le portrait. Je tendis une main incertaine vers le cadre en reniflant légèrement. Ma petite main se posa sur le cadre de bois. Je tirai le cadre vers moi et le déposai sur mes genoux. Ma main gauche, celle qui était libre se posa sur le papier protégé par une drôle de couverture transparente. De quoi elle était faite? Je ne le savais pas, mais ma main caressa lentement les visages. Une larme coula et vint s’écraser contre le portrait. Je plissai les yeux en m’efforçant de retenir les larmes qui me montaient trop rapidement aux yeux. Le vieil homme finit par poser une main protectrice sur ma tête et frotter légèrement mes cheveux foncés. Je n’osai relever le regard vers lui...

- Ils étaient heureux. Ils t’aimaient... Malgré le fait que personne n’osait les croire... ils ne t’ont jamais détestés. Ne leur en veut pas. Ce n’était pas leur faute, c’était moi, j’aurais dû, j’aurais dû!


Il éclata en sanglots. Je n’en compris pas la cause, enfin j’en avais une légère idée, mais je ne comprenais pas pourquoi il parlait ainsi de mes parent. Je baissai les yeux sur la représentation de mes parents. Ma mère était belle, comme toujours, ses longs cheveux blancs lui coulaient sur les côtés du visage en de nombreuses cascades. Ses yeux d’un bleu éclatant étincelaient dans la douce lumière. Son visage pâle ressemblait traits pour traits à ce que je me rappelais d’elle. Elle était parfaite, ma mère, c’était elle et je la revoyais tel qu’elle avait toujours été, heureuse. Quant à l’autre personne, celle qui enlaçait ma mère, il devait s’agir de mon père. Je ne me souvenais plus de lui. Il était mort pendant que j’étais encore tout jeune, pas assez vieux pour que ma mémoire soit efficace pour me rappeler son visage. Ses cheveux argentés encadraient parfaitement son visage pâle et long. Ses yeux d’un gris vitreux paraissaient chaleureux et doux. Il était grand et carré. Il portait une logue tunique blanche et il enlaçait ma mère avec bonheur. Mon regard se posa ensuite sur ce que mes parents tenaient entre leurs bras. Ma mère protégeait une couverture. Je regardai plus attentivement et me vis. Je sus que c’était moi à cause de la différence entre mes géniteurs et moi-même. J’étais un minuscule enfant, mes cheveux foncés étaient encore courts et mes yeux étaient grands, innocents. Je ne semblais pas me rendre compte de ce qui se passait autour de moi, du nombre de conversation que j’alimentais. J’étais un monstre aux yeux de tous, mais dans ce temps-là, je n’en savais encore rien, sûrement pour mon mieux. Je regardai ensuite le dernier visage. Une frimousse ridée, mais heureuse. De grands yeux brun rougeâtre lumineux étaient encadrés par un visage jovial et des cheveux froncés, grisonnants.

Mon regard se posa sur le vieil homme qui observait le portrait avec autant de bonheur et de curiosité que moi. Son regard semblait nostalgique. Je l’observai un moment avant de reposer une fois de plus mon regard sur le portrait. Je m’attardai sur le vieil homme de la « photo ». Finalement je fronçai les sourcils et relevai le regard vers l’homme. Je parlai de nouveau.

- Est-ce que c’est mon grand-père? Maman m’a dit qu’il était mort avant mon père. C’est vrai?


Le visage du vieillard parut réellement surpris puis il sembla submergé par un voile de tristesse. Il me repoussa légèrement et retourna chercher sa chaise de bois. Il l’approcha rapidement et s’assied en me regardant. Je le fixai en me tournant vers lui, le portrait dans les mains. Il soupira lentement avant de me regarder tristement.

- Alors c’est ce qu’elle a fait croire?! Pas juste à eux, mais à toi aussi... je parie que c’était la seule solution sinon... elle ne m’aurait pas...


Son visage devint soudainement blême. Ses yeux rougeâtres se perdirent dans la contemplation du portrait. Je le resserrai entre mes doigts. Que racontait-il qu’est-ce qu’elle avait raconté? Qui? Je penchai la tête sur le côté avant de grimacer de douleur, j’étais toujours blessé, mais je l’avais oublié, trop submergé par d’étranges émotions confuses. Le vieillard se projeta contre moi en me demandant de toutes sortes de façons si j’allais bien, je ne fis que hocher la tête, je sentais que si j’ouvrais la bouche, ça ne serait certainement pas des mots qui en sortirait, mais bien un restant de nourriture que je n’avais tout simplement pas mangé. Le vieil homme alla chercher quelque chose sur le plateau, plus loin, et revint avec. Il me tendit une drôle de bouteille tordue dans tous les sens. À l’intérieur gigotait un liquide blanc. Il me posa le bord de la bouteille sur les lèvres et m’incita à boire chose que je fis avec dégoût. Le liquide gouttait encore pire que tout ce que j’avais pu boire jusque-là. Lorsque j’eus terminé la bouteille, je fis une grimace de dégoût alors que l’homme refermait le couvercle avec soulagement. Lorsque le goût du liquide fut parti, je me sentis soulager de voir que ma douleur avait disparu, je fis un grand sourire au vil homme avant de reprendre la parole.

- Alors, c’est quoi votre nom? Vous savez le miens et je ne sais même pas pourquoi, mais je ne sais pas le vôtre! C’est quoi?


Il fit un drôle de sourire forcé. Je ne sus pas s’il faisait cela toujours ou s’il était nerveux par rapport à sa réponse. Je penchai donc la tête sur le côté en attendant qu’il me réponde. Avait-il peur de son propre nom? Était-il un kidnappeur et il ne voulait me dire son nom de peur que je sache qui il était et que je devais me méfier de lui? Je frissonnai en imaginant toutes sortes de raisons possible. Finalement il parla pour mon plus grand bonheur.

- Euh... je m’appelle Henri... ton... ton... grand-père!

Je ris nerveusement, je ne savais pas comment réagir. Devais-je lui sauter dans les bras en pleurant, ne pas le croire puisque ma mère m,avait raconté qu’il était mort. La seule chose que je fis fut de relever le cadre devant moi et de le comparer avec le portrait. Bien sûr il semblait plus vieux en vrai, mais la couleur des yeux était la même, enfin elle avait été « peinturer » de la même couleur et sa forme de visage était la même. Je laissai le cade tomber, j’étais ahuri. Je ne savais pas quoi dire ni quoi faire. C’était beaucoup trop de nouvelle et de questionnement en une journée, mais je fus satisfait de comprendre un peu pourquoi l’endroit me semblait connu, c’était sûrement parce que j’étais déjà venu là dans ma jeunesse.

~ ... ~ ... ~

Plusieurs années passèrent alors que je vivais avec mon grand-père. Je découvris un jour qu'il avait, il y avait longtemps, été chef, cependant, pour quitter ce poste, il s'était fait passé pour mort et ma mère avait entretenue cette pensée en me disant que mon grand-père était mort. Mon grand-père m'entraîna à l'utilisation de la lumière et au maniement du sabre. J'étais un prodige d'après lui. Un jour vint où je racontai à Henri ce qui se passait de mon côté. Le fait que les gens me redoutaient et me traitaient d'une manière bien différente. Il s'offusqua alors et m'ordonna d'aller au village avec lui. Nous nous rendîmes alors au village et tout le monde appris que je n'étais pas originaire d'un autre clan, que mon grand père était comme moi et que je retenais mes gènes étranges de lui. Ils furent aussi surpris d'apprendre que mon grand-père était toujours vivant. Je ne sus pas si ils commencèrent à me respecter à cause qu'ils m,avaient mal traités ou parce que mon grand-père avait autre fois été chef! Enfin tout cela pour dire que lorsque j'eus 14 ans, la plupart des gens du village me voulaient comme héritier. Non pas à cause de mes origines, mais à cause de mon sens de la justice et mon talent inné. Je n'en fus jamais réellement certain. Après ce qu'ils m'avaient fais à ma mère et moi, j'eus toujours un doute lorsqu'ils disaient quelque chose pourtant j'acceptai le rôle en jurant de protéger la population du mieux que je pourrai, chose que je ferrai bien sur!

Lorsque mes 15 ans vinrent, mon grand-père fut assassiné. Par qui? Personne ne réussit jamais à le découvrir. Ce fut moi-même qui le découvrit, mort, sur le parquet de la maison dans la forêt. Ce fut un réel choc. Il fallut plusieurs villageois pour retenir ma rage. C'était la dernière personne qui constituait ma famille et je venais de la perdre. Je me jurai alors de tout faire pour retrouver l'assassin de mon grand-père, lui, cet homme fort malgré son âge qui m'avait tout appris. Durant l'année qui suivit, je m'entraînai sans relâche du matin au soir. Je m'entraînai à en saigner de partout. Je laissai de nombreuses tache de sang sur ma lame. Je suis maintenant fort, fier et prêt. Attendant avec patience le moment où je le vengerai. Tranchant sa sale tête avec ma lame noire. Juste à y penser, j'en suis tout excité!


[ TERMINÉ!!!!! ]

[ Vraiment désolée, la fin est minable, mais j'en avais ras le bol d'écrire alors c'est rapide, mais clair je crois! ]
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Saeru
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MessageSujet: Re: Saeru [ Light / FINI!!!]   Saeru [ Light / FINI!!!] EmptyMar 10 Fév - 5:43

Bon j'ai fini. Je le redis encore, désolée pour la fin de l'histoire je sais c'est minable, mais bon il faut faire avec!
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Flamèche
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MessageSujet: Re: Saeru [ Light / FINI!!!]   Saeru [ Light / FINI!!!] EmptyMer 11 Fév - 2:24

Je valide et simple question, quand as tu l'intention de devnir chef ??
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